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de
la famille VERGEZ
 
Les cimetières
 
 
Le cimetière de Nogent-sur-Marne
Cimetière du Père Lachaise.
Div.66 - Chemin d'Ornano - 1ère ligne
Adolphe ALPHAND
(Jean-Charles Adolphe ALPHAND) [ÉLU] [LH]
° 26/10/1817 (Grenoble 38) † 06/12/1891 (Paris XVIe 75)
 
   
Source photo : Wikipédia - Domaine public. (1888) Portrait par Alfred Roll
 
Ingénieur des ponts et chaussées, il dirige, sous la houlette de Haussmann, le service municipal des promenades et plantations.
 
Parmi ses multiples réalisations, c'est ainsi qu'entre 1857 et 1865, il redessine le bois de Vincennes, tel que nous le connaissons aujourd'hui.
 
Par ailleurs, il est également élu conseiller général du canton de Coutras en Gironde entre 1856 et 1867.

 
N° de Notice : L0025063 Elevé au rang de Grand croix de la Légion d'Honneur (04/05/1889).
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Div.27 - Allée du Dragon 1ère ligne M=S-24
Gabriel Auguste ANCELET
[ARCHI] [LH]
° 21/12/1829 (Paris anc.6e 75) † 04/08/1895 (Paris XXe 75)
 
   
Architecte. Elève de Lequeux et de Baltard, il suit les cours de l’Ecole des beaux-arts et reçoit en 1851 le grand prix d’architecture pour un projet d’hospice dans les Alpes.
Il édifie plusieurs immeubles à Biarritz, dont celui d’habitation de l’Empereur et le château d’Artagéa pour l’impératrice Eugénie. En 1864, il est nommé architecte du palais de Compiègne.
 
Descendant de la famille Ancellet de Nogent-sur-Marne ou son grand père était né.
 
Il repose ici avec ses parents et son épouse, Isabelle Blanche Foucher qui suit.
 
Source image : Wikipédia Anglais.

 
N° de Notice : L0032067 Elevé au rang de Chevalier de la Légion d'Honneur (29/06/1867).
 
Isabelle Blanche ANCELET née FOUCHER
° 21/12/1829 (Paris anc.6e 75) † 04/08/1895 (Paris XXe 75)
 
Fille de Henri Paul Foucher, elle est la nièce du couple Adèle Julie Foucher x Victor Hugo.
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Div.36 - 3e ligne, face 33e Div.
Marie Ernestine ANTIGNY dite Blanche d'ANTIGNY
[ACTEUR]
° 09/05/1840 (Martizay 36) † 27/06/1874 (Paris VIIIe 75)
 
Blanche d'Antigny est-elle venue un jour à Nogent? Jean Roblin nous dit que en 1870, pendant le siège de Paris, elle installe une ambulance dans son luxueux hôtel du 11 de l'avenue Friedland, et qu'elle vient à Nogent pour soigner les blessés atteints par la mitraille, lors des combats de Champigny.
Je me garderais bien de mettre en doute ces propos que je n'ai pu vérifier, mais ce qui est sûr, par contre, c'est que son père, Jean Antigny, menuisier de son état, demeurait à Nogent en 1874. il est cité sur l'acte de décès de son épouse, le 24 mai à Montbazon (37), puis, un mois plus tard,sur celui de sa fille, le 27 juin à Paris VIIIe.
 
Mais pourquoi parler d'elle alors? Elle monte à Paris pour entrer au couvent, qu'elle quitte rapidement, à la mort de sa protectrice. Puis vient la vie de bohème. Elle part pour Bucarest ou elle se réfugie chez les tziganes, revient à Paris ou on a retrouve au cirque d'hiver.
 
Comédienne, on la voit dans les opérettes d'Offenbach, courtisane, elle a une liaison avec Napoléon Joseph dit "Plon-Plon", le neveu de Napoléon Ier, ce qui ne l'empêche pas de fréquenter d'autres princes, industriels et financiers auquels elle a le don de faire tourner la tête.
 
Ce fut la biche qui inspira Emile Zola pour le personnage de Nana dans son roman du même nom qui fut publié entre 1879 et 1880.
 
   
En 1858, le peintre Paul Baudry (1828-1886) la choisit comme modèle pour sa Madeleine pénitente, elle a 18 ans. Source image : Wikipédia - Domaine public.

 
Servit-elle de modèle à Edouard Manet en 1876? Jean Roblin l'affirme, mais Blanche était déjà décédée et d'autres sources parlent de Henriette Hauser, une autre actrice.
 
   
Le Figaro du 22 juillet 1933 nous expose sa vie. Source : Gallica

 
Elle est morte vraissemblablement de la typhoïde au 93 boulevard Haussmann chez son amie Caroline Letessier, et repose au "Père Lachaise ou la chapelle est maintenant à l'abandon.
https://www.appl-lachaise.net/antigny-marie-ernestine-blanche-d-1840-1874/
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Div.61 - 3e ligne face à la 60e Div. No 11 à partir du boulevard
Louise Françoise ANTONY née DUBACQ
[BIENFAIT]
° 17/04/1844 (Paris anc.7e 75) † 26/12/1896 (Nogent-sur-Marne 94)
 
Veuve de Jean Martin ANTONY, décédé le 22 février 1893 à leur domicile parisien du 65 rue des Gravilliers (IIIe), elle semble s'être installée à Nogent après son veuvage, au 25 de l'avenue des Marronniers ou elle décèdera.
Elle repose aux côté de son époux.
 
Elle est cité comme bienfaitrice de la commune, sur la plaque commémorative apposée dans le hall de la mairie de Nogent.
 
Acte de décès : AD94 - 1MI 366 vue 74/128.
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Div.28 - 1e Ligne face à la 29e Div., 4e à gauche de la princesse Bibesco
Alexandrine ARCHDEACON née GEHIER de SAINT HILAIRE
[BIENFAIT]
° ca 1800 (Paris 75) † 24/03/1883 (Paris VIIIe 75)
 
Propriétaire
 
Décès : AD75 - V4E 6133 Vue 1/31
 
Bienfaitrice. Son nom est gravé sur la plaque commémorative dans le hall de la mairie.
 
Veuve d'Alexandre Allazard, elle se remarie le 9 mars 1820 à Paris avec

Sébastien Marie ARCHDEACON
[ÉLU] [MNA]
° 09/07/1793 (Dunkerque 59) † 04/11/1871 (Nogent-sur-Marne 94)
 
   
Conseiller municipal de Paris. Conseiller général de Charenton.
Source Paris Musées : Photographie Pierre Lanith Petit - 1864, Musée Carnavalet - CC0 1.0 Universal (CC0 1.0) Public Domain Dedication.

Agent de change.
Il décède à son domicile de Nogent-sur-Marne, au 16 rue Charles VII, la future MABA (Maison d'Art Bernard Anthionoz).
 
Acte de naissance : AD59 - 5 Mi 027 R 024 Vue 346/459.
Acte de décès : AD94 - 1MI 357 Vue 65/181.
 


Leur fils Edmond et son épouse reposent à leur côté, ainsi que leur petit fils qui suit
 

Edmond ARCHDEACON
(Edmond Sébastien ARCHDEACON) [ÉLU]
° 24/12/1864 (Paris VIIIe 75) † 20/02/1906 (Paris VIIIe 75)
 
   
Conseiller général de l'Yonne de 1895 à 1898. Député de la Seine du 11 mai 1902 à son décès.
Source image : Wikipedia - Domaine public - M. Ed. Archdeacon, député de la Seine. Auteur inconnu, La Vie au grand air, 7 juin 1902.
Gallica

 
Commanditaire de la banque Le Roy, Merolla et Cie, administrateur de la Régie générale des chemins de fer, il possède une écurie de courses réputée et un hôtel particulier au 15, avenue des Champs-Elysées.
 
Antidreyfusard, il a participé au coup de force de Paul Déroulède, le 23 février 1899, qui a tenté de conduire, sans succès, le général Roget à l'Élysée.
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Div.41 - Avenue Greffülhe - 1ère ligne
CHARM el CHEIKH
(A la mémoire des victimes de Charm el Cheikh)
† 03/01/2004
 
Le 3 janvier 2004, le vol Flash Airlines 604 s'est écrasé dans la mer Rouge, peu après son décollage faisant 148 victimes, dont les treize membres de l'équipage.
 
Parme ses passagers se trouvaient trois nogentaises : Mme Danielle Ferrière, de sa fille Marie, âgée de 10 ans et de leur amie Mme Jacqueline Bar.
 
A Nogent, une stèle à leur lémoire a été apposée dans le cimetière (Div. 10).
 
Le 22 décembre 2009, a lieu au Père Lachaise une cérémonie d'inhumation de restes humains non identifiés des victimes dans cette sépulture.
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Div.02 - 2e Sect. 1e Ligne face à la 1e Sect, No 1bis de la 4e Sect
Edmond Eugène CHAZERET
[BIENFAIT]
° 03/09/1852 (Paris anc.5e 75) † 21/01/1913 (Nogent-sur-Marne 94)
 
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6276028j.image.r=CHAZERET.f15.hl
Bulletin municipal officiel de la Ville de Paris 03/07/1915 :
49. — Assistance publique. — Accepta-
tion du legs Chazeret pour entretien
de sépulture.
M. Alpy, au nom de la 5e Commission. —
Messieurs, aux termes d'un testament authen-
tique, reçu le 1er août 1912 par MO Gaston
Bazin, notaire à Paris, M. Chazeret (Edmond-
Eugène), décédé le 22 janvier 1913, en son
domicile 13, avenue de Joinville, à Nogent-
sur-Marne (Seine), a légué à l'Assistance pu-
blique, nette de tous frais et droits, la somme
nécessaire pour acheter 250 francs de rente
3 % sur l'Etat français, à charge d'entretenir
sa sépulture au cimetière du Père-Lachaise...

 
Banquier, il demeurait au 13, avenue de Joinville à Nogent.
Bienfaiteur. Son nom est gravé sur la plaque commémorative dans le hall de la mairie.
Il repose au Père Lachaise avec son épouse Marie Julie Adèle Maubrey (1858-1908), qui est également sa nièce, puisque fille de sa soeur Madeleine Chazeret et de Claude Maubrey.
 
Acte de décès : AD94 - 4E 3097 Vue 4/45
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Div.41 - Avenue Transversale No 1, 3e ligne (21651)
Joseph Marie De GERANDO
(Baron Joseph Marie de GERANDO) [ÉLU] [LH] [MED-DIV]
° 28/02/1779 (Lyon 69) † 10/11/1842 (Paris anc.11e 75)
 
 
   
Baron d'empire, Pair de France, Conseiller d'état.
Il est linguiste, pédagogue, philanthrope et anthropologue. Il fait partie des fondateurs de la Société française pour l'abolition de l'esclavage en 1834.
 
Grand officier de la Légion d'honneur. LH//1117/38.
 
Source image : Wikipédia - Domaine public - Julien-Léopold Boilly — Bibliothèque de l'Institut de France.

 
Il est élu de 1816 à 1819 maire de Nogent-sur-Marne ou il réside au 150 Grande rue (hôtel des Coignards) depuis 1811.
Sous l'autorité du roi Louis XVIII, il fait disparaitre tous les symboles révolutionnaires, les noms de rues révolutionnaires disparaissent, c'est le retour de l'ordre, de la famille et de la religion.
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Div.60 - 4e ligne face le Bd No 10 partir de la 59e D. (198-469) RELEVÉE.
Jean Pierre DUVELLEROY
[ÉLU] [LH]
° 25/02/1802 (Cherbourg 50) † 02/02/1889 (Nogent-sur-Marne 94)
 
Conseiller municipal.
Chevalier de la légion d'Honneur N° de Notice : L0885020.
 
Fabricant d'éventails, il crée sa maison en 1827, au 15 rue de la Paix à Paris. Les ateliers sont situés au 17 passage des Panoramas ou il demeure.
Il fut récompensé lors de plusieurs expositions universelles, notamment en 1851 ou il reçoit le premier prix, au Cristal Palace de Londres.
Après avoir créé un éventail représentant la famille royale d’Angleterre d’après l’oeuvre de Winterhalter, il est nommé fournisseur officiel de sa majesté la reine Victoria, et ouvre une succursale à Londres. En 1853, il réalise un éventail pour la corbeille de mariage d'Eugénie, future impératrice. Il devient le fournisseur officiel de la ville de Paris, et alimente de ses créations la cour du second empire et celle des principaux souverains d'Europe.
Jean Pierre Duvelleroy transmet à Jules, son fils aîné, né hors mariage, la succursale de Londres, et à Georges la maison parisienne.
Aujourd'hui, la maison existe toujours, on peut voir son histoire sur https://www.eventail-duvelleroy.fr/histoire/ ainsi que quelques créations.
 
   
Publicité pour Duvelleroy, fabricant d'éventail 17 Passage des Panoramas et 35 Boulevard des Capucines, par Gendrot. Source Wikipedia - Domaine Public.

 
En 1854, alors qu'il vient q'acquérir une vaste propriété au 14 de la Grande Rue de Nogent-sur-Marne, il achète également une bonne partie de l'île de Beauté, dont revend immédiatement aux enchères quarante lots de 500m², se réservant une parcelle de 2000m² ou il construit une maison qui existe encore aujourd'hui.
 
L'avenue Duvelleroy, voie privée à l'angle du 12 Grande Rue, fut élargie par Jean Pierre Duvelleroy, et porte son nom par décision du conseil municipal du 05 février 1861.
 
Acte de décès.
 
La sépulture a été relevée.
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Div.26 - 4e ligne du chemin Monvoisin - 1ère à gauche de l'escalier
Marie DUVELLEROY née LUTZ
(Marie Laurentine DUVELLEROY)
° 02/10/1860 (Paris Ier 75) † 12/03/1940 (Paris IXe 75)
 
Dans cette sépulture repose Marie, épouse de Georges Louis Duvelleroy, inhumé à Nogent-sur-Marne.
 
Avec Marie Duvelleroy-Lutz reposent ses parents Georges Bernard Lutz (1835-1901) et Laurentine Juliette Greverath (1836-1927)
ainsi qu son fils, Georges Jean Duvelleroy (1882-1965) et sa première épouse Marguerite Notel (1893-1936).
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Div.20 - Chemin de la Vierge, 1ère ligne
Jacques HIGELIN
(Jacques Joseph Victor HIGELIN) [MNA] [ACTEUR] [MUSIQ]
° 18/10/1940 (Brou-sur-Chantereine 77) † 06/04/2018 (Nogent-sur-Marne 94)
 
Auteur-compositeur-interprète et comédien français.
Il s'était retiré à la Maison Nationale des Artistes
 
Voir sa fiche sur le site des amis du Père Lachaise.
 
   
Source image : Wikipédia - CC BY-SA 2.5 - Benoît Derrier Cropped by User:Berdea.

 
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Div.04 - Avenue Principale - 3ère ligne
Ignace HOFF dit Le Sergent HOFF
[LH]
° 20/07/1836 (Marmoutier 67) † 29/05/1902 (Paris XVIIe 75)
 
   
Source photo : © Y.Vergez.
 
  Monument de Bry-sur-Marne.
 
Né de père inconnu, il porte le nom de sa mère, Marie Anne Dietrich. Lorsque celle-ci épouse Reinhard Hoff, le 06 février 1843, le couple reconnait l'enfant.

 
1870 : Incorporé au 7e régiment de marche, il combat avec le 13e corps du général Vinoy et rentre à Paris lors de la retraite.
Il se distingue par d'audacieuses actions contre les avant-postes allemands.
 
Jean Roblin nous raconte qu'il loge chez Guillet, au 17 de la rue Charles VII. En embuscade le long de la Marne, il effectue maints coups d'éclats qui lui valent aussitôt sa célébrité. Il s'empare de l'Île-aux-loups, met en déroute une troupe d'infanterie et de cavalerie ennemie.
 
N° de Notice : L1305009 Elevé au rang de Chevalier de la Légion d'Honneur (06/11/1870). Décoré par le Général Trochu, gouverneur de Paris.
Cité à l'ordre le 19 novembre 1870 par le gouverneur de Paris (A tué, le 29 7bre trois sentinelles ennemies; le 1er octobre un officier prussien; le 5 en embuscade avec quinze hommes a mis en déroute une troupe d'infanterie et de cavalerie; le 13 octobre a tué deux cavaliers ennemis; enfin dans divers combats, il a tué 27 prussiens.
 
Blessé à de maintes reprises, il sera capturé après la bataille de Champigny et envoyé au camp de Grimpert, près de Cologne. Sa tête étant mise à prix, il a arraché ses gallons et se cache sous l'identité de Wolff, natif de Colmar.
 
Hoff finit sa carrière avec le grade d'adjudant. Il devient le gardien chef de l'Arc de Triomphe.
 
le livre Souvenirs d'un soldat d'Êmile Faguet sur Gallica relate une partie de ses exploits.
 
On dénombre plusieurs rues du Sergent Hoff, à Bry-sur-Marne, au Perreux, à Paris 17e, et à Marmoutier sa ville natale.
 
La statue de la sépulture est signée du sculpteur Auguste Bartholdi (auteur de la statue de la liberté à New-York).
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Div.27 - Chemin du dragon, 1ère ligne
Gabriel Le COAT de KERVEGUEN
(Louis Marie Gabriel Le COAT de KERVEGUEN) [RUN]
° 10/03/1800 (Saint-Pierre 974) † 04/03/1860 (Paris VIIIe)
 
   
Source photo : Wikipédia - Domaine public.
 
Gabriel Le Coat de Kerveguen est le fils de Denis (1776-1827), né à Landerneau (29). Ce dernier, fuyant la révolution, arrive à La Réunion en 1796 sur la frégate La Régénérée. Il s’établit comme commerçant au sud de l’île. Il épouse en premières noces Angèle Césarine Rivière (1777-1815). C'est de cette union que naît Gabriel, le 10 mars 1800, à Saint-Pierre.
 
En 1827, à la mort de son père, il hérite de 330 hectares de champs cultivés, une centaine d'esclaves et 1.2 milions de livres.
 
En 1831, il épouse Anne Marie Chaulmet (1816-1836), qui lui apporte en dot le domaine de la Ravine des Cabris.

 
Il devient le plus gros propriétaire foncier de l'île. Son domaine passe à 628 ha en 1830, puis à 2128 ha en 1840, 3127 ha en 1848 et dépasse les 5000 ha en 1860.
Bien sûr, le recours aux esclaves pour exploiter les terres est de rigueur. La centaine d'esclaves est devenue un millier en 1840, et on en dénombre 1500 à l'abolition du système en 1848.
Kerveguen est alors indemnisé par l'Etat et reçoit en 1849 1.900.514 francs or en compensation de l'affranchissement.
Il a alors recours à l'engagisme et en 1857, il emploie 3200 ouvriers.
 
Pour transporter ses marchandises, il développe avec son frère Augustin une entreprise d'import-export Ils font construire des navires qui vont relier Saint-Pierre à Bordeaux, Nantes et le Havre.
 
Grâce à son immense fortune, il prend des hypothèques, prête aux petits propriétaires.Il contribue également à la création de la Banque de la Réunion (1853). Il est aussi l’un des premiers actionnaires de la Caisse d’Épargne et de Prévoyance de l’ île (1854), ainsi que l’un des initiateurs du Crédit foncier colonial (1860).
 
De son épouse décédée à Saint-Pierre en 1836, il a deux enfants : Denis-André (1833-1908) qui est associé aux affaires de son père, et Emma (1835-1916) qui épouse le 22 octobre 1860 Hippolyte Charles Napoléon Mortier, futur 3e duc de Trévise et chambellan de Napoléon III.
 
C'est en préparant ce mariage que Gabriel le Coat de Kerveguen est victime d'un accident de calèche, et meurt le 4 mars 1860 à Paris. Il est inhumé au Père Lachaise.
 
Dans la sépulture, reposent également sa belle mère, Marie-Joseph-Adélaïde Prugnières veuve Chaulmet et son beau frère Germeuil Chaulmet décédés en 1859, ainsi que son fils, le comte Denis-André le Coat de Kerveguen et son épousen la comtesse Adèle de Mahy (1840-1889).
Son épouse, décédée en 1836 fut inhumée au cimetière marin de Saint-Pierre (974).
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Div.76 - Face au mur des fédérés
Paul LAFARGUE
° 15/01/1842 (Santiago de Cuba) † 25/11/1911 (Draveil 91)
 
Docteur en médecine, membre de la Première Internationale, franc-maçon, fondateur, avec Jules Guesde, du Parti ouvrier français, vulgarisateur du marxisme.
 
Laura LAFARGUE née MARX
(Jenny Laura LAFARGUE)
° 26/09/1845 (Bruxelles Be) † 25/11/1911 (Draveil 91)
 
Socialiste, fille de Karl Marx.
Traductrice, on lui doit notamment celle du Manifeste du parti communiste de 1848.
 

Source photo : Wikipédia - Domaine public.
 
  

Source photo : Wikipédia - Domaine public.
 

 

Paul Lafargue est né à Cuba, et se parents se fixent à Bordeaux en 1851. En 1861, il monte à Paris étudier la médecine, mais il est beaucoup plus intéressé par les manifestations politiques.
En 1865, il a un premier contact avec son futur beau-père, mais est interdit d'université pour avoir participé au congrès des étudiants internationalistes de Liège. Il part donc pour un hôpital de Londres, c'est là qu'il se lie à Karl Marx dont il courtise la fille cadette, Laura, qu'il épouse en 1868.
 
Après un passage à Paris, c'est Bordeaux, puis l'Espagne, puis de nouveau Londres avant un retour en 1882 à Paris, au 66 du boulevard de Port-Royal. Paul passe le plus clair de son temps en réunions et meetings avec Jules Guesde. Le couple mènent une vie précaire, soutenu financièrement par Friedrich Engels.
 
En janvier 1888, ils déménagent pour le Perreux dans un pavillon. Nous les trouvons au recensement de 1891 au 60 avenue des Champs-Elysées.
 
En 1895, la mort et l'héritage laissé par Engels va permettre au couple d'acquérir une propriété à Draveil.
 
Il y vivront jusqu'à 1911 ou Paul proche de 70 ans se suicide avec son épouse en s'injectant de l'acide cyanhydrique.
Sain de corps et d'esprit, je me tue avant que l'impitoyable vieillesse qui m'enlève un à un les plaisirs et les joies de l'existence et qui me dépouille de mes forces physiques et intellectuelles ne paralyse mon énergie, ne brise ma volonté et ne fasse de moi une charge à moi et aux autres.
 
Sources Wikipédia, Le Maitron, SH Nogent-le Perreux-Bry(1997 T4-6).
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Div.01 - Avenue Thirion - 2e ligne 48e du Bd
Alexandre Jacques ETIGNARD de LAFAULOTTE
[RUE] [LH]
° 25/08/1789 (Paris anc.4e 75) † 22/02/1844 (Paris Anc.1er 75)
 
Chevalier de la Légion d'Honneur.
 
Il épouse le 21 février 1827 à Paris (ancien 2e)
Louise Victorine ETIGNARD de LAFAULOTTE née DIDIER
° 16/08/1804 (Paris anc.2e 75) † 05/04/1895 (Nogent-sur-Marne 94)
 
   
Source photo : Wikipédia. Par Sdo216 CC BY-SA 4.0
 
Le couple possédait une propriété à Nogent, au 9, rue de la Fosse au Mai (actuelle rue Pasteur).
 
La demeure a été reconstruite au XVIIIe siècle par Mansart (Lequel?) pour l'abbé Secousse, curé de Saint-Eustache.
En 1803, elle est achetée par Thimotée Honoré Luce qui la fait décorer par Fragonard.
En 1870, alors qu'une batterie est installée sur la terrasse, la maison n'échappe pas aux tirs des Prussiens.
 
Elle est définitivement détruite en 1896, un an après le décès de Louise Victorine, pour le percement d'une nouvelle rue : La rue Lafaulotte.

 
Après la 2e guerre mondiale, la Rue Lafaulotte est rebaptisée rue de l' Abbé Guilleminault, mort pour la France le 3 juin 1940. la rue Lafaulotte
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Div.02 - Avenue du bureau, 1ère ligne (23/03/1907)
Auguste LESOUEF
(Alexandre Auguste LESOUEF) [MNA]
° 16/08/1829 (Paris anc.7e 75) † 15/08/1906 (Paris IIIe)
 
   
Source photo : Gallica. Portrait par Go Sei Da, peintre japonais.
 

 
   
Source photo : © Y.Vergez. La bibiothèque, 14-16, rue Charles VII à Nogent-sur-Marne.
 
Bibliophile et collectionneur, il consacre sa vie et sa fortune à réunir une collection de livres, d'estampes et de manuscrits.

 
En 1913, ses nièces Madeleine et Jeanne SMITH offrent cette collection à l'état.
Aujourd'hui la bibliothèque n'est plus qu'un écrin vide, les collections ont été transférées à la BNF.
 
Toutefois, un certain nombre d'objets ayant appartenu à la famille y ont été regroupés. Des visites sont possibles, notamment à l'occasion des journées du patrimoine.
 
Auguste Lesouef est inhumé au Père Lachaise (Voir la fiche) dans une autre sépulture que ses nièces.
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Div.60 - 11e ligne face à la 58e, 6e face à la 59e
Jean-Luc MORETTI
(Jean-Luc Marcel MORETTI) [ÉLU] [MÉDECIN]
° 22/05/1946 (Paris XVIe 75) † 21/12/2010 (Paris Xe 75)
 
   
Source photo : Nogent Magazine.
 

 
1er adjoint au maire, conseiller d'agglomération.
 
Docteur en pharmacie, es sciences physiques, en médecine, agrégé de biophysique de de médecine nucléaire, professeur au CHU de Bobigny, enseignant à la faculté de Paris-Diderot, chercheur à Berkeley. Il a exercé les vingt dernières années comme chef de service de médecine nucléaire à Avicennes, Saint-Louis, et l'hôtel-Dieu.
 
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Div.11 - Chemin Méhul - 1ère ligne
Nicolas FRANCOIS de NEUFCHATEAU né FRANCOIS
[ÉLU] [ECRIVAIN] [LH]
° 17/04/1750 (Saffais 54) † 10/01/1828 (Paris anc.10e 75)
 
   
Source photo : Wikipédia - Domaine public. (1797) Membre du Directoire Exécutif. Gravure de François Bonneville
 
Dès douze ans, il compose des vers qui lui valent l’approbation de Voltaire et de Rousseau.
A seize ans, il est autorisé à accoler à son nom celui de la ville Neufchâteau.
 
En 1776, il achète l’office de lieutenant général de baillage de Mirecourt, en 1781, il devient subdélégué de l’intendance de Lorraine, et en 1783, il acquiert la charge de procureur général du Cap Français, à Saint-Domingue ou il reste en poste à Saint Domingue jusqu’en 1786.
Sous la révolution, il est élu député. En parallèle, il écrit une pièce Paméla, qui jugée hostile aux jacobins lui vaudra la prison du 2 septembre 1793 au 4 août 1794.
Il devient une première fois ministre de l’intérieur le 16 juillet 1797.

 
Parmi d'autres activités, il est à la base de la création des Archives Nationales et des bibliothèques départementales.
 
Devenu sénateur en 1800, c'est à cette date qu'il achète le château du Perreux à Nogent-sur-Marne.
Les frères Millin l'avaient vendu en 1795, et s'étaient partagés le reste du domaine. Ces terres seront transmises à leurs cousines Thérèse et Agathe Rousseau de Pantigny, cette dernière épouse du vicomte de Beaufranchet. Tout cela se terminera par des opérations de lotissement, mais c'est une autre histoire.
Revenons à Nicolas François de Neufchâteau. Il s'installe au Perreux ou il résidera vingt deux mois avec son épouse.
 
En 1808, il est nommé comte de l'Empire.
 
Souffrant de la goutte depuis longtemps, il se retire de la vie politique en 1814, et s'occupe d'agronomie. En parallèle, il est également membre de de l'Institut.
 
N° de Notice : L1028052 Elevé au rang de Grand officier de la Légion d'Honneur (14/06/1804).
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Div.14 - 10e ligneface à la 13e D, 31e de la 5e D.
Raoul Georges NICOLO
° 21/06/1923 (Le Gosier 971) † 07/04/1993 (Aubervilliers 93)
 
   
Source photo : Wikiwix. www.archivesdefrance.culture.gouv.fr (*)
 
Ingénieur et inventeur.
il rejoint le Commissariat à l'Énergie atomique (CEA) après des études d'ingénierie suivies à l’École centrale de TSF. Il obtient également en 1962 un doctorat en sciences de la faculté des sciences de Paris.

 
 
   
Source photo : Wikiwix. www.archivesdefrance.culture.gouv.fr (*)
 
De retour en Guadeloupe, il est élu conseiller municipal du Gosier de 1983 à 1989.

 
Il est également connu pour le recours qu'il dépose devant le Conseil d'État contre le résultat des élections européennes de 1989. Le recours sera rejeté, mais sera à l'origine de l'arrêt Nicolo sur le contrôle de conventionnalité des lois.
 
En 1992, l’International Biographical Center Of Cambridge au Royaume Uni distingue Raoul Georges Nicolo comme l’une des plus grandes personnalités intellectuelles de la planète.
 
Le site 97LAND nous apprend que l'AGAF, Amicale des Gosiériens et Amis de France, en collaboration avec la délégation départementale du CREFOM 93 et le Comité des Ultramarins pour la Mémoire d’Armand Barbès (CUMAB), l’ont honoré au cimetière du Père Lachaise ou il serait inhumé, le dimanche 28 juin 2020, en présence de sa veuve. Je n'ai pour l'instant pas pu vérifier cette information.
 
Il a été fait, à titre postume, Citoyen d'Honneur de sa ville d'adoption, Nogent-sur-Marne, par le maire Jacques JP Martin et son conseil municipal. Source guadeloupe.franceantilles.fr
Par ailleurs, depuis 2006, la médiathèque du Gosier est rebaptisée Médiathèque Raoul Georges Nicolo, et à l'occasion de ses vingt ans, le lycée de Rivière des Pères de Basse-Terre a été baptisé le 30 septembre 2011 lycée Raoul Georges Nicolo.
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Div.42 - 1ère ligne face à la 91e D, 9e de la 92e D
Aline NUNGESSER née SANGUINOLENTI
[RESIST] [MÉRITE]
° 16/10/1898 (Paris XIXe 75) † 06/08/1990 (Bry-sur-Marne 94)
 
Commercante à Nogent, elle passe sa vie au service des autres.
Avec son mari Léon NUNGESSER, elle participe activement à la résistance locale dans le cadre du réseau Libération nord.
Mère de Roland NUNGESSER, elle lui apporte un soutien indéfectible tout au long de sa carrière politique.
Belle-soeur de l'Aviateur Charles NUNGESSER, elle a également un rôle actif dans le Comité du souvenir Nungesser & Coli.
Sa bonté naturelle l'amène à se consacrer à l'aide sociale en faveur des familles modestes et des personnes âgées.
 
   
Source photo : AM Nogent-sur-Marne. (1990) Journal municipal
 
Le 8 juillet 1978, elle reçoit des mains de Simone Veil les insignes de l'Ordre National du Mérite.

 
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Div.28 - Chemin Saint Louis, 6e ligne
Delphine PALATSI dite Sextoy
[MUSIQ]
° 07/10/1968 (Saint-Mandé 94) † 03/02/2002 (Nogent-sur-Marne 94)
 
DJ française, elle avait la particularité de mélanger les genres.
 
Elle avait appris à mixer dans la cave du pavillon familial de Saint-Mandé, puis fait de nombreux séjours aux Etats-Unis. Elle en revient avec le surnom de Sextoy, et sept points tatoués au dessus de ses sourcils.
Les tatouages, piercings et chirurgie plastique vont progressivement la transformer.
 
Lesbienne affirmée, c'est au Scandalo qu'elle va faire ses débuts en 1993. A la fin des années 90, elle est résidente au Pulp, boite de filles du boulevard Poissonnière dont elle a donné le nom.
 
Rattrapée par ses démons, la nuit, la musique, la drogue et le personnage qu'elle s'est créée, elle part se reposer dans une maison de santé à Nogent-sur-Marne. C'est là qu'elle décède d'un arrêt du coeur le 4 février 2002.
 
Wikipedia: Delphine Palatsi dite Sextoy.
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Div.06 - Chemin Lebrun, 1ère ligne
joseph PANON DESBASSAYNS
(Joseph PANON baron DESBASSAYNS) [RUN]
° 23/02/1780 (Saint-Paul 974) † 17/04/1850 (Paris anc.2e 75)
 
   
Source photo : © Y.Vergez. Extrait du tableau généalogique exposé au musée de villèle
 
Il est le septième enfant de Henri-Paulin PANON DESBASSAYNS et de Ombline GONNEAU-MONTBRUN.
 
Agronome, il est considéré comme l'un des promoteurs de l'industrie sucrière de l'île de la Réunion. Il est connu pour ses méthodes d'assolement originales.

 
Il a dirigé la plantation de Bel Air, à Sainte-Suzanne.
 
Il a été élevé au titre de baron hériditaire le 7 novembre 1824, et se fait appeler Joseph PANON baron DESBASSAYNS.

(Inhumation : 02/04/1855)
Elisabeth PANON DESBASSAYNS née PAJOT
(Marie Joseph Elisabeth PANON DESBASSAYNS) [RUN]
° 26/09/1783 (Saint-Denis 974) † 03/05/1844 (Sainte-Suzanne 974)
 
Epouse de Joseph, le couple a un enfant Jules qui décède à Paris ancien 2e arrdt âgé de 7 ans, il est inhumé dans cette sépulture le 24 février 1823.
 
On citera également leur fille, Camille épouse Jurien de la Gravière (1811-1878), connue pour avoir financé des oeuvres sociales à partir des indemnités reçues par les familles esclavagistes lors de l'abolition de 1848.
 
Elisabeth Pajot décède à Sainte-Suzanne (974), sa dépouille rejoindra son fils et son époux à Paris en 1855.
 
une inscription sur les murs du caveau signale également la présence de Marie Antoinette Pajot (1781-1861), soeur d'Elisabeth.
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Div.08 - Chemin Chénier, 1ère ligne
Philippe PANON DESBASSAYNS de RICHEMONT
(Philippe Charles PANON DESBASSAYNS de RICHEMONT) [LH] [RUN]
° 03/02/1774 (Saint-Paul 974) † 07/11/1840 (Paris anc.2e 75)
 
   
Source photo : Wikipédia - Domaine public.
 
Il est le troisième enfant de Henri-Paulin PANON DESBASSAYNS et de Ombline GONNEAU-MONTBRUN.
 
Envoyé en métropole, il fait ses études à l’école royale militaire de Sorèze (Tarn), puis à l’Ecole Militaire de Metz.
 
Entre 1789 et 1799, il fait du commerce depuis la Réunion, puis rentre en france ou il épouse Jeanne Eglé Mourgue. Le couple aura huit enfants.
 
Il occupe différents postes, tous en rapport avec l'océan Indien et les colonies : administrateur des établissements français en Inde, intendant de l'île Bourbon, membre du Conseil d'Amirauté. De 1817 à 1819, il est nommé commissaire général de la Marine et ordonnateur à Bourbon.
 
Grand propriétaire esclavagiste, il se prévaut de l'ancien Code noir, et s'implique en 1817 dans l'affaire Furcy, où un esclave intente un procès contre son maître Joseph Lory, un des principaux introducteurs du sucre sur l’île Bourbon.
 
En 1819, il est nommé en Inde, et quitte Bourbon pour Pondichéry avec son épouse, son fils Eugène et trois esclaves domestiques.

 
Beau-frère du ministre ultraroyaliste Joseph de Villèle, Philippe Panon Desbassayns est élu, en 1824, député de la Meuse.
 
Il est fait baron de Richemont le 21 août 1825, puis comte le 6 octobre 1827, par lettres patentes.
 
A la chute de la monarchie, en 1830, il abandonne toutes ses fonctions politiques.
 
A Suresnes, le couple possède le château des Landes, proche de la Malmaison, ce qui permettait à Eglé Mourgue de fréquenter Joséphine de Beauharnais. Elle est victime d'un accident en 1804, ce qui provoque le décès de leur fille Camille âgée de quatre ans.
En 1832, Philippe Panon Desbassayns achète le château de Cangé situé à Saint-Avertin (Indre-et-Loire).
 
Il décède en 1840 dans son hôtel particulier au 10 rue de Pigalle, à Paris.
 
N° de Notice : L2043043 Elevé au rang de Commandeur de la Légion d'Honneur (29/10/1826).
 
Dans la sépulture, on trouve également :
- Le fils aîné, Eugène Panon desbassayns ( 1800-1855), son épouse Athénais Dupont (1809-1848), les parents de celle-ci, Pierre dupont et Grâce Bergon, et leur fille Jeanne Mathilde (1830-1831).
- Une fille, Lydie Panon desbassayns (1806-1839) et son époux Charles Dodun de Keroman (1802-1863) et leur fille Sandrine (1828-1850).
- Et quelques autres...
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Div.39 - Chemin Molière et La Fontaine, 2ème ligne, M=P-26
Antoine PARMENTIER
(Antoine Augustin PARMENTIER) [RUE] [LH]
° 12/08/1737 (Montdidier 80) † 17/12/1813 (Paris 75)
 
   
Source photo : Wikipédia - Domaine public.
 
Pharmacien militaire, c'est au cours de la guerre de Sept Ans (176-1763), alors qu'il est prisonnier militaire en Prusse, que Parmentier goûte la bouillie de pommes de terre.

 
En 1771, à la suite des famines, il rédige un mémoire, vantant les facultés du tubercule, qui est couronné par l'académie de Besançon.
Malgré une interdiction du Parlement de Paris datant de 1748, l’Académie des sciences, des belles-lettres et des arts le récompense.
C'est un long combat qui s'engage pour en faire reconnaitre les valeurs nutritives. Il va employer la ruse : A la plaine des Sablons, il fait garder un champ de pommes de terre le jour, mais pas la nuit, afin que le peuple parisien puisse en voler ...
 
Ce n'est là qu'un aspect de ses travaux. Il travaille également sur la châtaigne, les sucres, le mais, l'opium, l'ergot de seigle, la conservation des aliments, et fait adopter la vaccination antivariolique par l’armée. Il s’occupe de l’hygiène sur les navires militaires. Il est l’un des créateurs de l’École de boulangerie en France en 1800. Etc...
 
Elevé au rang d'Officier de la Légion d'Honneur (15/07/1804). Décoré par Napoléon Ier. (Source Wikipédia).
 
Rue Parmentier. Le nom a été donné en 1913 pour célébrer le centième anniversaire de la mort d'Antoine Parmentier.
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Div.95 - 11e ligne face 41e div, No 23 de 92e Div. (78 de 1910) RELEVÉE.
Alfred Benjamin POLTON
[BIENFAIT]
° 10/08/1851 (Paris anc.10e 75) † 05/02/1918 (Paris XIVe 75)
 
   
Source photo : AM Nogent-sur-Marne. 304/1 - Albums photo P.Champion - Mr Polton Bienfaiteur
 
La sépulture n'existe plus, elle a été relevée.

 
Marie POLTON née VINET
[BIENFAIT]
° 27/01/1868 (Paris IVe 75) † 02/01/1935 (Paris XIIe 75)
 
Ce couple habitait à Nogent au 35 rue Faidherbe lorsque le mari est décédé en 1918. Lui était employé de commerce, elle couturière.
 
Ils ont créé la caisse des écoles, et à ce titre, figurent tous les deux sur la plaque commémorative des Bienfaiteurs de la commune apposée dans le hall de la mairie.
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Div.05 - Chemin Serré - 1ère ligne
Francis POULENC
(Francis Jean Marcel POULENC) [MUSIQ]
° 07/01/1899 (Paris VIIIe 75) † 30/01/1963 (Paris VIe 75)
 
   
1930 - Source image : Wikipedia - Domaine public.

 
Son père, Emile Poulenc, négociant, chimiste, est l'un des fondateur des établissements Poulenc frères qui deviendront Rhône-Poulenc.
 
Sa mère, Jenny Zoé Royer lui apprend le piano dès l'âge de cinq ans.
 
Il passe une partie de son enfance à Nogent, son grand père maternel Ernest Royer y possédait une maison au 4 rue de la Muette. Sa soeur aînée, Jeanne, y nait d'ailleurs en 1886. C'est une ancienne famille de Nogent, l'arrière grand-père d'Ernest Royer n'est autre que Louis Etienne Gervais SAUSSAY qui fut maire à Nogent entre 1830 et 1831.
 
Il suit une scolarité au lycée Condorcet à Paris et publie ses premières oeuvres.
Avec son ami Georges Auric, il fréquente la Maison des amis du livre ou il recontre Cocteau, Appolinaire, Max Jacob, Paul Eluard, ... Il mettra leurs textes en musique.
Mais sa carrière de compositeur est impressionnante. Vous en retrouverez les détails sur https://poulenc.fr/ ainsi que des photos de son enfance à Nogent.
 
En 1927, il achète à Noizay, dans l'Indre-et-Loir, à côté de Vouvray, le "Grand Coteau", une maison datée du XVIe siècle, ou il pourra recevoir ses amis et composer en paix, loin du tumulte de la capitale.
 
Wikipédia nous dit que "la mort de plusieurs amis et celle du compositeur et critique Pierre-Octave Ferroud, puis un pèlerinage à Rocamadour en 1935, le ramènent vers la foi catholique dont il s’était détourné depuis la mort de son père, en 1917".
Le décès en 1933 de Louis Muccioli, professeur de violoncelle à Nogent-sur-Marne y a sans doute contribué. Il écrit à la veuve de ce dernier "son souvenir est pour moi toujours présent à l'esprit puisque c'est en partie avec lui que je suis né dans la musique". Voir la lettre sur https://vergez.net/muccioli.php
 
Francis Poulenc meurt à son domicile parisien du 5 rue Médicis d'une crise cardiaque le 30 janvier 1963.
Il est inhumé au cimetière du Père Lachaise avec sa nièce, Brigitte Manceaux (1914-1963) qui fut aussi sa conseillère musicale, sa secrétaire et sa confidente.
 
En son hommage, l'hôtel des Coignard accueille aujourd'hui le conservatoire de musique et d'art dramatique Francis Poulenc.
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Div.73 - 1e Son 3e ligne n°19 - N°122392
François ROLLAND
[ÉLU] [RUE] [ARCHI] [LH]
° 04/06/1806 (Mazille 71) † 06/11/1888 (Nogent-sur-Marne 94)
 
Clémence ROLLAND née CARPENTIER
(Marie Victoire Clémence ROLLAND)
° 08/10/1821 (Paris anc.02e 75) † 08/01/1892 (Paris Ier 75)
 
Ils sont inhumés ensemble au Père Lachaise.
 
Architecte, inspecteur des eaux de la ville de Paris (1834-1848), conseiller municipal durant 20 ans.
 
Biographie : https://cths.fr/an/savant.php?id=109392
 
Bienfaiteur. Source L. Figoni. Son nom ne figure toutefois pas sur la plaque dans le hall de la mairie.
 
Il a été élevé au rang de Chevalier de la Légion d'Honneur le 26 mars 1884. Cote : LH//2372/6
 
Acte de décès.
Rue François Rolland.
Villa Clémence Henriette (Prénoms de sa femme et de sa fille).
 
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Div.97 - Avenue circulaire
Pierre SEMARD
(Pierre Victor SEMARD) [ÉLU] [RUE]
° 15/02/1887 (Bragny-sur-Saône 70) † 07/03/1942 (Evreux 27)
 
   
Photographie de Pierre Semard publiée dans le compte rendu sténographique du VIIIe Congrès national du parti communiste français (Lyon-Villeurbanne, 22-25 janvier 1936), Paris, Éditions du Comité populaire de propagande, 1937, p.291.
Source Wikipedia - Par Auteur inconnu Cette image provient de la bibliothèque en ligne Gallica sous l'identifiant ARK bpt6k118603m/f288, Domaine public.

 
Fils d'un cantonnier des chemin de fer et d'une mère-garde barrière, Pierre Semard passe sa jeunesse en Saône-et-Loire. Puis, il exerça différents métiers avant de se fixer à Valence ou il s'engage dans l'armée et se marie en 1909.
 
Il entre aux chemins de fer et devient militant syndical, puis rapidement, dirigeant des cheminots de la Drôme. En juin 1921, il est élu secrétaire général de la Fédération des cheminots.
 
En 1922, il rencontre Lénine à Moscou. En juillet 1924, iol devient secrétaire général du PC français.
 
1939 : À la suite du Pacte germano-soviétique, la Fédération des Cheminots CGT vole en éclats et les ex-confédérés (CGT) décident, le 25 septembre 1939, d'exclure Semard des fonctions dirigeantes et le licencient de son poste de permanent syndical.
Il est aussi révoqué de son mandat de conseiller général de la Seine.
 
Le 20 novembre 1939, Pierre Semard est arrêté à Loches où il a repris son travail de cheminot. Il est, une fois de plus, incarcéré à la Santé, et lors de son procès, est condamné à trois ans de prison.
Transféré à la prison de Fresnes, il en est évacué le 20 mai 1940 à Bourges.
 
Son épouse est arrêtée en août 1941, puis sa fille Yvette, au début de 1942.
 
Au début 1942, Pierre Semard est transféré au camp d'internement de Gaillon. Le 6 mars, on l'envoie à la prison d'Évreux. Livré comme otage aux autorités allemandes, il est fusillé le 7 mars 1942.
 

 
En 1945, sur proposition de Marcel KOSTELNHACK, la place de la gare Nogent-Vincennes est renommée Place Pierre Semard.
 
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Div.44 - Chemin du Quinconce, 1ère ligne (22/04/1940)
Madeleine SMITH-CHAMPION née SMITH
(Madeleine Louise Adèle SMITH-CHAMPION) [MNA] [PEINTRE] [LH] [MED-DIV]
° 18/11/1864 (Paris Ier 75) † 18/04/1940 (Nogent-sur-Marne 94)
 
 
   
Source photo : Source incertaine, collectée vers 2000, sans doute Archives Municipales de Nogent. (vers 1920) Autoportrait
 
Agée de seize ans de plus que Pierre CHAMPION son époux (*1), Madeleine Smith commence à peindre vers 1887. Elle est l'élève de Jean-Jacques Henner qui est l'un des rares artistes de l'époque enseignant aux femmes.
Elle reçoit en 1891 la médaille de bronze de la Société des artistes Français pour sa Jeanne d'Arc.
La guerre de 14-18 entraine l'arrêt de son activité de peintre, elle la reprendra après.

 
Dès août 1914, elle fonde et entretient à ses frais l'hôpital militaire auxiliaire No 73 dans la propriété de Nogent-sur-Marne. Il a fonctionné jusqu'en avril 1919 :
Importance de l'hôpital 72 lits, 12 infirmières, 1 chirurgien, un médecin.
61.568 journées de présence de blessés ou malades de 1914 à 1919.
Indépendamment de la direction de l'hôpital, Mme Champion donnait des soins personnels aux blessés.
 
   
Source photo : Gallica. (01/04/1916) Agence photographique de presse ROL. (*)
 
Le 1er avril 1916, le président de la république, Mr Raymond Poincarré lui fait l'honneur de visiter l'établissement.

 
Pour son action, elle reçu en 1920 la distinction de Chevalier de la Légion d'Honneur. Léonore - Cote(s) : 19800035/457/61108.
 
(*1) Acte de mariage CHAMPION-SMITH, Nogent-sur-Marne, le 19 décembre 1907.
 

(Inhumation : 23/03/1943)
Jeanne SMITH
(Jeanne marie Joséphine SMITH) [MNA] [PHOTO]
° 17/04/1857 (Paris 75) † 18/03/1943 (Nogent-sur-Marne 94)
 
 
   
Jeanne est la soeur de Madeleine. c'est une photographe. Elle reste célibataire et vit également à Nogent dans la demeure de la rue Charles VII. Elle participe activement à l'hôpital militaire de campagne entre 1914 et 1919.

 
Les deux soeurs et Pierre Champion, sans descendance, lèguent la propriété à l'état. Le bâtiment de gauche est devenu la MABA : Maison d'Art Bernard Anthonioz, celui de droite, la Maison nationale des artistes. La bibiothèque d'Auguste LESOUEF, leur oncle, est vidée de son contenu qui est réparti dans différentes collections (BNF, Etc...)
 
Elles sont inhumées avec leurs parents au Père Lachaise (Voir la fiche).
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Div.52 - 1e ligne face 53e div, No 27 de Michelet
Jean SOULES
[RUE]
° 07/02/1839 (Cugnaux 31) † 28/02/1901 (Nogent-sur-Marne 94)
 
Marchand droguiste, il réside avec son épouse et ses cinq enfants au 37, Grande Rue à Nogent.
 
Acte de Décès.
 
Rue Jean Soules
 
Marie SOULES née MATHIEU
(Marie Jenny SOULES)
° 07/05/1849 (Brie-Comte-Robert 77) † 26/01/1918 (Paris VIe 75)
 
Deux ans après le décès de Jean Soulès en 1901, sa veuve, Marie Jenny Mathieu, cède à la ville de Nogent-sur-Marne gratuitement un terrain situé entre la Grande Rue et la rue Théodore Honoré (22/02/1903), sur lequel elle avait fait ouvrir une rue. Ce terrain est accepté par la ville et la rue est baptisée -Jean Soulès-. Source Archives municipales.
 
On notera toutefois que le nom de la rue a été attribué à l'époux, et non à la donatrice. Par ailleurs, ils ne figurent ni l'un ni l'autre sur la plaque des bienfaiteurs de la mairie.
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Div.28 - Chemin Camille Jordan, 10ème ligne
Hippolyte MORTIER de TREVISE
(Hippolyte Charles Napoléon MORTIER de TREVISE) [LH]
° 04/05/1835 (Sceaux 92) † 22/10/1860 (Paris VIIIe)
 
3e duc de Trévise, chambellan de Napoléon III.
N° de Notice : L2628020 Elevé au rang de Chevalier de la Légion d'Honneur (14/06/1859).
 
Il est connu pour ses talents de dessinateur, qu'il exerça notamment à La Réunion. Ses tableaux et dessins sont conservés au Musée Léon-Dierx.
Il épouse le 22 octobre 1860 à Paris VIIIe Marie Angèle Emma qui suit :
 
Emma Le COAT de KERVEGUEN
(Marie Angèle Emma Le COAT de KERVEGUEN)
° 28/10/1835 (Saint-Pierre 974) † 09/06/1916 (Coupvray 77)
 
Fille de Gabriel le Coat de Kerveguen, riche propriétaire terrien de l'île de la Réunion.
 
   
Source photo : © CG Brie. (1950)
 
En 1869, le duc achéte le château de Coupvray. A la mort d'Emma, en 1916, c'est son neveu, Emmanuel Le Coat de Kerveguen qui en devient propriétaire.
 
Sans doute en lien avec Edouard Mortier (1883-1946), 5e duc de Trévise, neveu d'Hippolyte, et grand amateur d'art, le château va devenir un dépôt de province des Musées Nationaux. Ouvert officiellement le 20 novembre 1942, le dépôt CY acceuille des oeuvres de plusieurs institutions :
La collection du musée Bossuet de Meaux, les vitraux de la cathédrale de Meaux, des meubles, tapisseries et peintures de la cathédrale, l'église Saintt Etienne et de la préfecture de Beauvais, des peintures de Notre-Dame de Versailles et les bourgeois de Calais de Rodin.
 
Vers 1910, le château n'est plus habité mais pas abandonné. Il fini par tomber en ruine à la fin du XXe siècle.

 

Dans cette sépulture reposent également (entre autres):
 
Le cœur de Adolphe "Édouard" Casimir Joseph Mortier, 1er duc de Trévise,
 né au Cateau-Cambrésis le 13 février 1768 et mort à Paris le 28 juillet 1835,
 militaire et homme d'État français, élevé à la dignité de maréchal d'Empire en 1804.
Marié le 25 janvier 1799 à Coblence avec
Eve Anne Himmès (Hymmès selon Wikipédia)
 née le 19 août 1779 à Coblence et morte le 13 février 1855 à Paris anc.1er
 
Napoléon Mortier, 2e duc de Trévise,
 fils des précédents, né le 6 aout 1804 à Issy-les-Moulineaux et mort le 29 décembre 1869 à Sceaux,
 agronome et homme politique français,
Marié le 24 septembre 1828, à Paris avec
Anne-Marie Lecomte-Stuart
  née le 13 mai 1808 à Paris et morte le 08 janvier 1870 à Sceaux.
Le couple construit à Sceaux un nouveau château entre 1856 et 1862.
 
"Edouard" Napoléon César, 4e duc de Trévise,
 fils des précédents et frère d'Hippolyte (3e duc),
 né le 8 février 1845 à Paris et mort le 2 Juin 1912 à Paris,
Marié le 14 novembre 1877 à Paris VIIIe avec
Sophie Augusta Julie "Marguerite" Petit de Beauverger,
 née le 27 avril 1855 à Paris anc.7e et morte le 4 septembre 1921 à Biarritz.
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Div.23 - Chemin Adanson, 1ère ligne
Jean Marie VERGEZ
[LH] [ST-LOUIS]
° 12/06/1757 (Saint-Pé-de-Bigorre 65) † 20/06/1831 (Paris anc.1er 75)
 
   
Source photo : © Les APN. (*)
 
Engagé dans l'armée dès 1778, il participe à l'armée des Pyrénées sous les ordres du général Servan, puis à l'armée des côtes de l'océan commandée par Hoche. C'est pendant cette campagne qu'il se rend célèbre en capturant Charette, le chef chouan.
Il passe ensuite à l'armée d'Italie, puis à l'armée des Grisons.
blessé trois fois à la bataille d'Iéna. Il est nommé général de brigade le 23 octobre 1806.
Après diffréentes affectations, il est mis en retraite en octobre 1815.
Il est nommé lieutenant-général des armées, puis lieutenant-général honoraire le 23 mai 1825.

 
N° de Notice : L2689097 Elevé au rang de Chevalier de la Légion d'Honneur (11/12/1803).Puis au rang d'Officier (14/06/1804).Puis au rang de Commandeur (28/04/1810).
Il est fait baron d'Empire le 21 septembre 1808, et il est également nommé Chevalier de Saint Louis le 17 janvier 1815.
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